The Gaze Of Angels
La première fois que je vis ces yeux purs et doux,
Mon corps frémit et chaque parcelle de ma vie,
Coulant en moi en fut à un tel point ébahie,
Que je ne pus me détacher au point d'être fou.
Ce mélange d'effluves d'une tristesse infinie,
De parfums d'espoirs et de si belle mélancolie,
Ont fait vibrer en moi des cordes qui naguère,
Furent d'acier et au son des plus délétère.
Comment ne pas vouloir lui offrir ses bras,
La réconforter et lui montrer la lumière,
Qui brille et illumine nos vies et notre terre,
Pour que ces yeux retrouvent ce pur éclat.
Ces perles inconnues trouvées parmi la fange,
Du numérique garni des flots odieux, étranges,
Ont agis sur moi comme un irrésistible aimant,
Et me font redevenir un si paisible enfant.
Edhelring